Voix de Femmes Dz "Voix de femmes pour les femmes"
Radio Raj Voix de jeunes : « Une radio libre pour une parole libre »
Coïncidant avec une date symbolique qu’est le 03 mai journée mondiale de la liberté de la presse, Le Rassemblement Actions Jeunesse « RAJ » a lancé sa web radio associative baptisée « Radio Raj, Voix de jeunes » à Alger.
Gérée par le RAJ « Voix de jeunes » se veut un espace de débat démocratique, d’expression libre et d’engagement citoyen en faveur de la population algérienne en général et des franges marginalisées notamment. Cette radio associative à but non lucratif est indépendante dans sa constitution, programmation, gestion et ligne éditoriale. Elle est composée d’une équipe de jeunes dynamiques et volontaires qui assurent la réalisation et la diffusion des émissions radiophoniques. Ses programmes se focalisent essentiellement sur la diversité dans le débat ainsi que les opinions et voix, contribuant ainsi à une société plus ouverte, plurielle et responsable. Elle œuvre également à travers ses rencontres à la conquête de nouveaux talents désireux de se former en la matière.
Parmi les émissions proposées par le RAJ : « L’invité de la semaine » qu’est un entretien hebdomadaire de 20 minutes avec un intervenant issu du monde politique, culturel, social ou autre domaine… « Le café des libertés » est une émission d’une durée d’une heure, diffusée deux fois par mois, sous forme d’une table ronde abordant des sujets d’actualité nationale ou internationale. Un flash d’infos qui va relater l’actualité qui a marqué la semaine va figurer aussi dans la grille des programmes « Actualités de la semaine ». Pour ce qui des actions et activités du RAJ en particulier et d’autres partenaires de la société civile, un reportage de terrain sera consacré à ces événements tant sur le plan national que international. Emettant sur le site de l’association : www.raj-dz.com la radio diffuse ses programmes en trois langues à savoir l’arabe, le français et le tamazight.
L’Algérie a ratifié les conventions internationales des Nations Unis qui reconnaissent les radios associatives par les mécanismes des droits humains. Sauf que les lois et textes juridiques ne sont pas encore disponibles pour régir ces médias en question.
